Le Blog du groupe Sentiers: c’est quoi au juste ?

Voilà une question sans doute bien tardive pour ce 102ème article du blog du groupe « Sentiers d’Yvoir »… une question que certains se posent pourtant à Yvoir à l’occasion de la publication d’un article mettant en cause la gestion par le Collège sortant d’un dossier de suppression de voiries vicinales à Houx… Je vais donc tenter de clarifier la situation.

Comme je l’explique dans la page « Le groupe Sentiers d’Yvoir » (lien dans la colonne ci-contre à droite), il convient d’abord de se souvenir que le groupe a un statut tout à fait inormel.  Ce n’est ni une ASBL, ni une commission communale officielle, ni une commission relevant du Syndicat d’Initiative d’Yvoir. Le groupe rassemble, dans une structure à géométrie très variable, quelques dizaines de bénévoles défenseurs des voies vertes qui se rassemblent autour d’actions en faveur de la petite voirie vicinale.  Ce groupe apporte également un soutien appréciable à la commune dans le cadre de projets tels que l’établissement d’un « réseau communal de mobilité douce » ou encore le projet du GAL « entretien des voies vertes ».  Il est également « acteur » du Plan Communal de Développement de la Nature.

En tant qu’initiateur-animateur de ce groupe (très informel), j’ai aussi souhaité disposer d’une plate-forme de communication moderne bâtie autour de la thématique des sentiers.  Telle est la vocation de ce blog dont j’assume seul l’entière responsabilité rédactionnelle (sauf bien sûr en ce qui concerne les commentaires qui y sont postés par des visiteurs ou des tiers).  De nombreux articles de ce blog reflètent -je l’espère- le plus fidèlement et de la façon la plus neutre possible les discussions menées lors des réunions du groupe ou dans le cadre de réunions avec les services communaux. 

De temps en temps, j’exprime dans certains articles mes propres réflexions ou commentaires sur des événements d’actualité. Très souvent, j’y mets en valeur des avancées positives dans le domaine des voies vertes dans notre commune ou dans notre région.  Parfois, c’est vrai, j’y remets en question certaines décisions ou orientations prises par le pouvoir en place.  Telle est la liberté que j’estime nécessaire à la réflexion et au progrès.  Je continuerai à le faire mais, désormais, ces articles seront, à chaque fois, signés de telle sorte que leur caractère personnel puisse être immédiatement reconnu.

Je terminerai par un grand classique toujours très d’actualité: « Sans liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur » (Beaumarchais et accessoirement le slogan d’un journal français qu’on ne peut soupçonner de sympathies avec des groupes écolo-terroristes… Cool)

 

Patrick EVRARD